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En ce matin de fin juillet 2010, ...( soit nous étions en été et le poème se situe en automne )... le soleil était absent à Saint-Malo,... la cité corsaire était blottie dans le brouillard, mais qu'importait le temps, cette cité agit comme un aimant, quand vous lui avez donné rendez-vous vous ne pouvez vous permettre de le reporter surtout quand vos petits-enfants s'en font une fête... par ailleurs, partis sous un beau soleil de Saint-Cast, nous ne pouvions prévoir que la cité corsaire s'était revêtue de brume .... ! Daniela
Quand le vent souffle de la mer
Sur les vagues des marées d'automne
Quand les pas du souvenir s'effacent
Que souffle la brise, sur la PassagèreAlors, je me souviens de lui,
Marchant solitaire près de Quelmer
Sur cette plage où la vague s'abandonneOctobre " au Vallion " grelottait sur le sable.
Les cormorans, dans un claquement d'ailes,
Prennent l'air et s'envolent ... vers Saint MaloAlors, je me souviens de lui.
Sur cette grève lointaine et monotone
Ressassée de vagues éternelles.
Où nous aimions rire et parler d'elles,
Notre Bretagne perdue, voilée, si belleDans les brumes du Mont-Saint-Michel
Quand mes pensées trop loin cheminent
Et morte-eau m'entraîne à Saint Malo
Là où passent les cavaliers du vent...Alors, je me souviens de lui.
Xavier Pierre
( Aubes Armoricaines )
21 commentaires -
En ce matin de fin juillet 2010, ... (soit nous étions en été et le poème se situe à l'automne.).. ..le soleil était absent à Saint-Malo,... la cité corsaire était blottie dans le brouillard, mais qu'importait le temps, cette cité agit comme un aimant, quand vous lui avez donné rendez-vous vous ne pouvez vous permettre de le reporter surtout quand vos petits-enfants s'en font une fête... par ailleurs, partis sous un beau soleil de Saint-Cast, nous ne pouvions prévoir que la cité s'était revêtue de brume .... ! Prima
Quand le vent souffle de la mer
Sur les vagues des marées d'automne
Quand les pas du souvenir s'effacent
Que souffle la brise, sur la PassagèreAlors, je me souviens de lui,
Marchant solitaire près de Quelmer
Sur cette plage où la vague s'abandonneOctobre " au Vallion " grelottait sur le sable.
Les cormorans, dans un claquement d'ailes,
Prennent l'air et s'envolent ... vers Saint MaloAlors, je me souviens de lui.
Sur cette grève lointaine et monotone
Ressassée de vagues éternelles.
Où nous aimions rire et parler d'elles,
Notre Bretagne perdue, voilée, si belleDans les brumes du Mont-Saint-Michel
Quand mes pensées trop loin cheminent
Et morte-eau m'entraîne à Saint Malo
Là où passent les cavaliers du vent...Alors, je me souviens de lui.
Xavier Pierre
( Aubes Armoricaines ))
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Les vacanciers s'en sont allés, suivis par le soleil.... l'automne que j'avais oublié est de retour, et avec lui un peu de pluie et un léger vent... cette pluie dont nous manquions !....les vents... aujourd'hui de sud-est, il nous amène la douceur, mais demain ou après-demain lorsque soufflera le vent de nord-est .... le " nordet " dans le langage marin, il nous faudra bien nous couvrir .... il mord et je n'aime pas ses morsures ! Daniela
Les quatre Vents ont ri dans le ciel du matin,
Puis leur humeur étant changeante, une querelle
S’est élevée entre eux. Et la femme autour d’elle
Vit s’abattre en riant le courroux du destin.
Les quatre Vents on ri dans le ciel de l’aurore
D’un grand rire pareil aux désespoirs fervents.
Avez-vous entendu le bruit des quatre Vents
Qui détruisent, riant, et détruisent encore ?
Et comme l’on soufflette en la force des mains,
Comme l’on rit en chœur, comme l’on chante et danse,
Les quatre Vents ont ri de savoir leur puissance
Sur le troupeau soumis et triste des humains.Renée Vivien
( Le vent des vaisseaux )
15 commentaires -
de Victoria Wells
Les vacanciers s'en sont allés, suivis par le soleil.... l'automne que j'avais oublié est de retour, et avec lui un peu de pluie et un léger vent... cette pluie dont nous manquions !....les vents... aujourd'hui de sud-est, il nous amène la douceur, mais demain ou après-demain lorsque soufflera le vent de nord-est .... le " nordet " dans le langage marin, il nous faudra bien nous couvrir .... il mord et je n'aime pas ses morsures ! Prima
Les quatre Vents ont ri dans le ciel du matin,
Puis leur humeur étant changeante, une querelle
S’est élevée entre eux. Et la femme autour d’elle
Vit s’abattre en riant le courroux du destin.Les quatre Vents on ri dans le ciel de l’aurore
D’un grand rire pareil aux désespoirs fervents.
Avez-vous entendu le bruit des quatre Vents
Qui détruisent, riant, et détruisent encore ?Et comme l’on soufflette en la force des mains,
Comme l’on rit en chœur, comme l’on chante et danse,
Les quatre Vents ont ri de savoir leur puissance
Sur le troupeau soumis et triste des humains.
Renée Vivien ( 1877 - 1909 )
( Le vent des vaisseaux )de Sandro Botticelli
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